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La matière qui satisfait

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Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les attraits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une souffle lente, une tradition née d’un geste ancien répété sans fin. https://zanemsvwv.ezblogz.com/65839943/le-pluie-des-contours

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