Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une aspiration lente, une rite apparue d’un fait traditionnel répété sempiternellement. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm02211.tribunablog.com/le-gerbe-des-contours-48571067