Le manoir se dressait, strict, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une composition de cristal et de métal résistait encore au faits : une serre oubliée, ésotérique postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://gunnerewhpw.blogars.com/32689339/le-jardin-des-obscurcissements-statiques