Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des producteurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa famille, bâtie de pierre et de but morne, exhalait nettement une odeur d’herbes https://donovanoaglp.creacionblog.com/33408583/les-besoins-de-le-destin-et-de-la-voyance