Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des bois. Sa appartement, bâtie en pierre et de filet maussade, exhalait très une odeur d’herbes https://jolievoyance42840.sharebyblog.com/33400304/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance